Depuis toujours, les actions et les obligations sont des types de placement importants. En fait, avec les liquidités, elles constituent la base du portefeuille de la plupart des investisseurs. Nous vous expliquerons ici la différence entre ces deux types de placement, afin de vous aider à prendre des décisions éclairées, fondées sur vos objectifs, votre horizon temporel et votre tolérance au risque.
Qu’est-ce qu’une action?
Lorsque vous dĂ©tenez une action, vous ĂŞtes propriĂ©taire d’une part de l’entreprise. Vous ĂŞtes un actionnaire. Les sociĂ©tĂ©s publiques et privĂ©es Ă©mettent des actions afin de lever le capital nĂ©cessaire au maintien de leurs activitĂ©s. Par souci de clartĂ©, nous n’aborderons pas les sociĂ©tĂ©s privĂ©es, puisque la majoritĂ© des actions nĂ©gociĂ©es en bourse sont celles de sociĂ©tĂ©s ouvertes. Â
Il serait beaucoup plus facile de calculer la valeur d’une action si celle-ci correspondait Ă Â la valeur actuelle d’une entreprise, sans plus. Ce n’est toutefois pas le cas. En effet, le cours d’une action tient compte des projections quant aux rĂ©sultats futurs de l'entreprise. En outre, des Ă©quipes complètes d’analystes gagnent leur vie Ă prĂ©dire la valeur future des actions, et ce type de spĂ©culation exerce une grande influence sur le cours d’une action.Â
Les actions sont vendues et achetĂ©es sur les marchĂ©s boursiers par l’intermĂ©diaire d’un rĂ©seau de courtiers, comme Scotia iTRADE. L’émission d’actions est rĂ©glementĂ©e et les sociĂ©tĂ©s publiques doivent respecter des exigences financières strictes qui comprennent, sans s’y limiter, la production de rapports et d’autres informations financières.Â
Vous pouvez vendre et acheter des actions sur les marchés boursiers, dont la Bourse de Toronto (TSX), au Canada, et le New York Stock Exchange (NYSE) et NASDAQ, aux États-Unis.
La capitalisation boursière d’une sociĂ©tĂ© reprĂ©sente la valeur totale de ses actions. Le calcul est simple : il suffit de multiplier la valeur monĂ©taire de toutes les actions en circulation par le cours actuel du titre. Par exemple, si une entreprise a 10 millions d’actions en circulation et que celles-ci sont cotĂ©es au cours de 25 $ chacune, la capitalisation boursière de l’entreprise est de 250 millions $.Â
Deux principaux types d’actions : ordinaires et privilégiées
Si vous êtes propriétaire d’actions ordinaires, vous recevez une partie des bénéfices annuels de l’entreprise, après la distribution des paiements aux propriétaires d’obligations et d’actions privilégiées. À titre d’actionnaire ordinaire, vous pourriez avoir le droit de voter lors de l’élection des membres du conseil d’administration de l’entreprise.
Les actionnaires privilégiés ont priorité sur les actionnaires ordinaires dans la distribution des bénéfices, cependant ils n’ont généralement pas de droit de vote lors de l’élection des membres du conseil d’administration.
Notions de base d’évaluation des actionsÂ
Valeur marchande
La valeur marchande correspond à l’évaluation de la valeur du titre d’une société sur les marchés, à un moment précis. Cette valeur varie continuellement au cours d’une journée, parfois de quelques cents seulement. Les facteurs qui ont une influence sur la valeur marchande d’un titre comprennent notamment la conjoncture et les émotions des négociateurs et des investisseurs.
Ratio cours/bénéfice (RBC)
Lorsque vous divisez le cours d’une action par le bĂ©nĂ©fice par action de l’entreprise, vous obtenez le ratio cours/bĂ©nĂ©fice. Aussi appelĂ© « multiple de capitalisation des bĂ©nĂ©fices », le RCB dĂ©termine d’une manière approximative ce qu’un investisseur est prĂŞt Ă payer pour un bĂ©nĂ©fice d’un dollar. Le RCB peut Ă©galement ĂŞtre calculĂ© au moyen des prĂ©visions d’un analyste Ă l’égard des bĂ©nĂ©fices attendus.Â
Taux de rendement de l’action
Le taux de rendement de l’action indique, en pourcentage, le dividende que l’entreprise verse à ses actionnaires. Le taux de rendement est calculé en divisant le montant du dividende par le cours de l’action. Un taux de rendement élevé peut être intéressant, mais il faut toutefois savoir qu’ils ne sont pas garantis. Même si cela se produit rarement, une entreprise peut annuler ou réduire les paiements en dividendes.
Taux de distribution
Ce pourcentage reprĂ©sente le bĂ©nĂ©fice qu’une entreprise verse Ă ses actionnaires plutĂ´t que de le rĂ©investir dans ses activitĂ©s.Â
Qu’entend-on par « ordres de bourse »?
Un compte de nĂ©gociation assorti de services de courtage vous permet de passer des ordres Ă la bourse. Voici les quatre types d’ordres les plus populaires :Â
Ordre au marché
Il s’agit du principal type d’ordre d’achat et de vente de titres boursiers individuels. Lorsque vous passez un ordre au marché, vous acceptez de vendre ou d’acheter un titre quel que soit son cours au moment où votre ordre est exécuté sur le marché boursier.
Ordre à  cours limité
Lorsque vous utilisez un ordre Ă Â cours limitĂ© pour acheter des actions, vous Ă©tablissez une limite sur le prix que vous ĂŞtes prĂŞt Ă payer pour chaque action. En règle gĂ©nĂ©rale, ce prix est infĂ©rieur au cours vendeur actuel du titre. Ă€ l’inverse, un ordre Ă Â cours limitĂ© pour la vente d’actions fixe la valeur minimum que vous ĂŞtes prĂŞt Ă accepter des acheteurs de vos actions. Habituellement, ce prix est supĂ©rieur au cours acheteur.Â
Cela étant dit, il est important de mentionner que bien qu’un cours soit fixé, pour la vente ou l’achat, il n’y a aucune garantie que le volume des opérations (c’est-à -dire qu’il y ait un nombre suffisant d’acheteurs ou de vendeurs intéressés), à ce cours, sera suffisant pour que votre ordre soit exécuté en totalité ou en partie.
Ordre à seuil de déclenchement
Si vous utilisez ce type d’ordre dans Scotia iTRADE, nous prenons pour acquis que vous avez dĂ©jĂ une position, longue ou courte, Ă l’égard du placement sous-jacent. Par consĂ©quent, lorsque vous passez un ordre Ă seuil de dĂ©clenchement, vous passez un ordre de vente ou d’achat, selon t votre position sous-jacente, assorti d'un « cours de dĂ©clenchement » pour liquider votre position. Cela signifie que lorsque le cours fixĂ© aura Ă©tĂ© atteint, votre ordre d’achat ou de vente sera exĂ©cutĂ©Â au marchĂ©. Ce type d’ordre est habituellement utilisĂ© dans le cadre de stratĂ©gies de gestion du risque et n’est offert que sur les marchĂ©s boursiers amĂ©ricains.Â
Ordre à plage de déclenchement
Sur les marchĂ©s boursiers canadiens, on utilise plutĂ´t les ordres Ă plage de dĂ©clenchement. Ă€ l’instar de l’ordre Ă seuil de dĂ©clenchement, vous devez fixer un cours « limite » auquel l’ordre sera exĂ©cutĂ©. Toutefois, si le cours limite est dĂ©passĂ©, l’ordre sera exĂ©cutĂ© comme un ordre Ă cours limitĂ©, plutĂ´t qu’un ordre au marchĂ©. Vous devez donc fixer un cours limite et un cours de dĂ©clenchement pour soumettre un ordre Ă plage de dĂ©clenchement.Â
Qu’est-ce qu’une obligation?
Les obligations ne suscitent pas le mĂŞme engouement que les actions, mais elles demeurent des Ă©lĂ©ments importants de tout portefeuille. Contrairement aux actions, dont l’objectif est d’obtenir un taux de rendement potentiel plus Ă©levĂ©, les obligations sont une source de revenu fixe. Votre horizon de placement et votre tolĂ©rance au risque seront des facteurs importants pour dĂ©terminer la pondĂ©ration des obligations dans votre portefeuille. Â
Pratiquement, une obligation est un type de placement qui reprĂ©sente un prĂŞt entre un prĂŞteur (vous, le porteur de l’obligation) et l’émetteur de l’obligation (une entreprise ou un gouvernement). Lorsque vous achetez une obligation, vous prĂŞtez de l’argent Ă l’entitĂ© Ă©mettrice.Â
Il existe deux principaux types d’obligations :
Obligations d’État : Elles comprennent les obligations municipales, provinciales et fédérales, telles que les bons du Trésor. (Les Canadiens peuvent également acheter des bons du Trésor du gouvernement des États-Unis, toutefois, nous n’aborderons pas cette question ici.)
Obligations de société : Ces obligations offrent habituellement un taux d’intérêt plus élevé que les obligations d’État.
Nota : Depuis novembre 2017, le gouvernement fĂ©dĂ©ral a mis fin Ă Â la vente d’obligations d’épargne du Canada, un placement traditionnel prisĂ© par des gĂ©nĂ©rations de Canadiens.Â
Comment les obligations fonctionnent-elles?
Lorsque vous ĂŞtes porteur d’une obligation, la sociĂ©tĂ© Ă©mettrice s’engage Ă vous verser des paiements d’intĂ©rĂŞt pour une pĂ©riode donnĂ©e. Ă€ l’échĂ©ance de l’obligation, les paiements d’intĂ©rĂŞt prennent fin et le montant de votre placement initial vous est rendu. Voici un exemple :Â
Valeur nominale (le montant investi, aussi appelé «principal») : 10 000 $
Valeur du coupon annuel : 4 %
Échéance : 3 ans
À l’occasion, les obligations peuvent être vendues à une valeur inférieure ou supérieure à leur valeur nominale. On fait alors référence à  une prime ou à  un escompte. Le rendement de l’obligation est établi en divisant la valeur du coupon annuel par le cours de l’obligation.
Le cours de l’obligation suit habituellement la trajectoire des taux d’intĂ©rĂŞt. Par exemple, dans un environnement oĂą les taux d’intĂ©rĂŞt sont faibles, le rendement des obligations est plus modeste. Toutefois, les obligations contribuent Ă diversifier un portefeuille et peuvent attĂ©nuer les risques liĂ©s Ă la volatilitĂ© des actions.Â
En règle générale, la majorité des obligations sont négociées hors cote, contrairement aux actions qui sont négociées sur les marchés boursiers. Cela signifie qu’elles sont vendues et achetées par l’intermédiaire d’un conseiller en placement, à partir des stocks gérés par les firmes de courtage sur le marché hors cote. Les nouvelles émissions d’obligations sont vendues sur le marché primaire, alors que les obligations déjà émises sont négociées sur le marché secondaire.
Les fonds communs de placement, les fonds indiciels et les fonds négociés en bourse (FNB) permettent d’investir indirectement dans des obligations.
Qu’en est-il des échéances et du risque de crédit?
Les conditions relatives Ă l’échĂ©ance et au risque de crĂ©dit sont des facteurs essentiels Ă prendre en considĂ©ration lorsque vous songez à  acheter des obligations.Â
Le risque de crédit (ou le risque de défaillance) mesure la possibilité que l’émetteur d’une obligation ne soit pas en mesure d’honorer les paiements d’intérêt et de rembourser le principal. Le rendement des obligations de société est supérieur à celui des obligations d’État, car les investisseurs acceptent un niveau de risque plus élevé. Lorsque vous évaluez vos options à titre d’investisseur, renseignez-vous sur les notations des agences spécialisées telles que DBRS Canada, Moody’s, Standard & Poor’s et Fitch. Elles évaluent les obligations et les classent en fonction de leur qualité.
Plus vous acceptez de risque, plus vous êtes en droit de vous attendre à un rendement élevé. À l’inverse, les obligations d’État proposent un risque de crédit plus faible que les obligations de société, mais leur rendement est également inférieur.
En ce qui concerne les échéances, plus la période de placement de vos fonds est longue, plus vous devriez obtenir d’intérêt sur le prêt. Par exemple, une obligation dont l’échéance est de 15 ans offrira un coupon plus élevé que celui d’une obligation de 5 ans. Notez toutefois que plus l’échéance est éloignée, plus le risque lié au taux d’intérêt sera élevé. Les obligations peuvent être à court terme (échéance de moins d’un an) ou à long terme (échéances pouvant aller jusqu’à 30 ans).
Comment les actions et les obligations diffèrent-elles?Â
Maintenant que nous avons examinĂ© les caractĂ©ristiques propres aux actions et aux obligations, voyons comment elles diffèrent.Â
Propriétaire c. Créancier
Lorsque vous êtes actionnaire d’une entreprise, vous en êtes partiellement propriétaire et, selon le type d’action que vous possédez, vous pourriez avoir un droit de vote. Lorsque vous détenez des obligations, vous êtes plutôt l’un des créanciers d’une entreprise, et vous n’avez aucun droit de vote ni de propriété.
Fluctuation de la valeur et du cours
Le cours des actions varie continuellement en fonction de l’offre et de la demande, du bénéfice par action, du ratio cours/bénéfice, et de différents facteurs économiques. Le cours d’une obligation, lui, varie principalement en fonction des taux d’intérêt.
Risque et rendement
De façon gĂ©nĂ©rale, les actions sont plus risquĂ©es que les obligations. Le potentiel de croissance d’une action est supĂ©rieur Ă celui d’une obligation, mais le cours d’une action peut fluctuer considĂ©rablement en raison d’un Ă©ventail de facteurs. Les obligations, quant Ă elles, sont des instruments Ă revenu fixe. Vous rĂ©cupĂ©rez le montant de votre investissement Ă l’échĂ©ance, avec les intĂ©rĂŞts au taux Ă©tabli Ă l’achat, pourvu que l’emprunteur demeure solvable.Â
Où et comment sont-elles négociées?
On peut vendre et acheter les actions sur les marchĂ©s boursiers, alors que les obligations ne sont disponibles que sur les marchĂ©s hors cote, par l’intermĂ©diaire de courtiers ou d’autres professionnels et institutions autorisĂ©s.Â
Aspects fiscaux
Le revenu tiré de vos placements peut prendre plusieurs formes, notamment des intérêts, des dividendes et des gains en capital, et chacun est traité différemment d’un point vue fiscal.
Avant d’aller plus loin, il est important de noter que les revenus produits par des actions peuvent être traités différemment par l’Agence du Revenu du Canada (ARC) selon que vous êtes un spéculateur sur séance ou un investisseur. Quelle est la différence entre les deux? Elle dépend de vos intentions lors de l’achat et de la vente d’actions.
Si vous êtes un spéculateur sur séance, vous achetez des actions dans le but de les revendre rapidement. Par conséquent, vos profits seront entièrement considérés comme étant un revenu d’entreprise. Aux yeux de l’ARC, vos activités de négociation sont considérées être un emploi à temps plein.
Si vous ĂŞtes un investisseur, vous achetez des actions dans le but de les conserver Ă long terme. Donc, le revenu de vos placements sera considĂ©rĂ©Â comme un gain en capital.Â
Passons maintenant aux types de revenus de placement et aux particularités de chacun :
Les dividendes versés par les sociétés canadiennes admissibles profitent d’un traitement favorable grâce au crédit d’impôt fédéral pour dividendes.
Les gains en capital constituent un revenu imposable, mais ils sont Ă©galement traitĂ©s favorablement d’un point de vue fiscal. En effet, seulement la moitiĂ© du gain en capital est imposable.Â
Le revenu d’intĂ©rĂŞt d’une obligation, d’un CPG, d’un bon du TrĂ©sor et d’autres placements similaires est imposĂ© en fonction de votre taux marginal d’imposition et ne reçoit aucun traitement spĂ©cial.Â
Les dividendes de sociétés étrangères ne donnent pas droit au crédit d’impôt fédéral pour dividendes et sont entièrement imposables, comme les revenus d’intérêt.
Qu’en est-il du revenu de votre emploi ou de l’intérêt d’un compte d’épargne, par exemple? Ces types de revenus sont imposables à votre taux marginal le plus élevé. Par conséquent, sur le plan fiscal, ils ne sont pas aussi efficaces que les dividendes ou les gains en capital.
Avantages et inconvĂ©nients des actions et des obligations Â
Actions – AvantagesÂ
Le potentiel de rendement est plus élevé, à long terme, que celui des obligations.
Certains titres versent des dividendes, ce qui peut servir de pare-chocs si le cours de l’action chute, rapporter un revenu supplémentaire ou être utilisé pour acheter plus d’actions.
Les actions offrent généralement une bonne liquidité.
Seulement la moitié du gain en capital est imposable, si vous êtes un investisseur et non un spéculateur sur séance.
Actions – InconvĂ©nientsÂ
Le cours des actions fluctue constamment, parfois même de façon dramatique.
Les investisseurs n’ont aucune garantie du rendement leur placement et peuvent même essuyer une perte.
Obligations – Avantages Â
Le cours des obligations fluctue moins que celui des actions.
Le potentiel de revenu est plus stable.
Les obligations offrent généralement une bonne liquidité
Obligations – InconvĂ©nientsÂ
Le rendement à long terme des obligations est généralement inférieur à celui des actions.
Le cours des obligations a tendance à baisser lorsque les taux d’intérêt augmentent.
Actions ou obligations? Quel type de placement vous convient?
Chaque type de placement possède ses propres caractĂ©ristiques. Il en va de mĂŞme pour les actions et les obligations. Les actions offrent aux investisseurs un meilleur potentiel de rendement Ă long terme, mais il s’accompagne d’un risque plus Ă©levĂ©. Les obligations sont plus stables, mais leur rendement Ă long terme est limitĂ©.Â
La combinaison de ces deux types de placement et de liquiditĂ©s peut ĂŞtre utilisĂ©e pour optimiser la rĂ©partition de l’actif de votre portefeuille. Une bonne stratĂ©gie de rĂ©partition de l’actif tient compte de votre âge, de vos objectifs financiers, de votre horizon de placement et de votre tolĂ©rance au risque. Par exemple, votre tolĂ©rance au risque pourrait s’attĂ©nuer au fur et Ă mesure que vous avancerez en âge. Par consĂ©quent, la pondĂ©ration des instruments de placement Ă revenu fixe, comme les obligations, pourrait augmenter.Â
Quel type de placement vous convient? Selon toute vraisemblance, votre portefeuille devrait contenir des actions et des obligations. Dans quelles proportions? Cela dépendra de l’investisseur.
Par oĂą commencer?
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